Nouvelle étape dans le ré-aménagement du parc de Rochemontes.
Après le jardin du belvédère, le potager, voici la plantation du verger, alliant fruitiers de plein vent et cordons doubles bras. Simplicité, sobriété, l’objectif est de souligner d’un trait de verdure les linéaires des murs de soutenement.

Projet de restauration de la grotte de fraicheur du domaine de Bonrepos-Riquet...
L’idée est de recréer un front bâti en meulières, deux volées d’escaliers permettant de rejoindre la grotte, et de réaménager les abords.

Le chantier est lancé depuis un mois, les massifs modelés ont été plantés en grand majorité. Le pavage, posé sur sable est en attente, la livraison est prévue au mois d’avril....

Le dichondra prend de l’épaisseur, il gagnera l’espace disponible au printemps.
Les fougères ont bien passées l’hiver tout comme les Danae et les vivaces plantées à l’automne. Le jardin va prendre de l’ampleur, et croitre sous la canonnée des érables, de l’olivier et du frêne à feuille étroite (Fraxinus angustifolia ’Rainwood).

Le jardin chinois est un havre de paix, conçu comme un tableau que l’on admire depuis la véranda. Un tableau dans lequel on peut se payer le luxe de déambuler, entre les cornouillers et les fougères, à l’ombre des platanes centenaires.

La Pomarède est un village audois, situé au pied de la montagne Noire.
Au centre du village, la présence du château classé nécessite une réflexion et une intégration paysagère du projet. En plus de la nouvelle polyvalente, un parking, une aire de jeux pour les enfants, un terrain de sport et une batterie de boulodrome complètent ce projet communal.

Le jardin suspendu est le cadre d’un restaurant, faisant la part belle à la viande et au poisson... Il recrée l’ambiance d’un jardin désuet, un jardin de famille, théâtre de récits maints fois entendus et de franches rigolades, d’instants d’éternité.

Le jardin d’Arcadie est un souffle antique, une déambulation poétique dans les ruines et la broussaille qui les accompagne.

Le jardin de pan est un espace secret, une retraite paisible, un havre.
La végétation est exotique, les pavages savamment disposés.
En ligne de mire du salon, un pavillon de thé est créé. Cet espace est un cocon qui permet d’apprécier le jardin sous un autre angle et dans le silence des fins de journées d’automne, de s’extasier d’une lumière sublimant les érables et les hydrangeas.

Un remarquable bosquet de bananiers, croit tranquillement à l’abri des vents et du gel et donne le ton à ce jardin. En ligne de mire, une cabane aux lignes épurées, à laquelle on accède par une passerelle.
La végétation est luxuriante et apparemment sauvage. Réalisation cet hiver...

Le jardin a passé son premier hiver sans encombre, mise à part la pointe d’un cyprès qui s’est desséchée. Le talus de vivaces va bientôt fleurir. Les anémones du Japon gagnent du terrain ainsi que les acanthes au pied de l’arbousier.

Le jardin est encore jeune. L’helixine progresse partout ou les grandes vivaces ne sont pas sorties. Les joints sont également gagnés par cette mousse généreuse.
Les hebes fleurissent proches des azalées, La fougère arborescente, délicatement arrosée, déploie ses frondes vert tendre. L’ambiance est très exotique, un sous-bois réunionnais au coeur de Toulouse !

Troisième printemps pour le jardin chameau. Les vivaces poursuivent leur dynamique de colonisation. Le jardin évolue donc au fil des saisons, au grès des choix du jardinier.
Les euphorbes doivent être maitrisées pour laisser aux plantes moins invasive, comme les Veronicastrum, la place suffisante pour s’épanouir.

Le jardin du mulot passe son premier hiver. Les pivoines pointent leurs terminaisons rouge foncé, les cornouillers bourgeonnent déjà, alors que l’helixine n’a pas cessé de progresser durant la saison morte.

Le patio est hyper coloré, presque acidulé. Il est la pièce centrale d’une clinique.
Tapissé d’helixine, de prêle et de fougères, c’est un jardin tableau, minimaliste et très apaisant.

Le jardin des ’Têtes brulées’ fait référence à la série américaine, dont le cadre est la guerre du Vietnam.

Le projet s’appuie sur une base de bambous qui donne au jardin un fort trait exotique. Le jardin est une imbrication de trois espaces indépendants, mais non imperméables : La pelouse, la piscine et le potager.
Les massifs ne sont pas arrosés. Ils renferment une végétation aux feuillages contrastés, volontairement luxuriants. Prêt de la maison, des massifs travaillés exposent leurs couleurs vives (Crocosmia, Agapanthus, Kniphofia...).

Sur les hauteurs au sud de Brive, la domaine du Brasier offre une vue magnifique sur la ville et la vallée de la Corrèze. Le projet vise à réhabiliter le jardin, en misant sur une gestion extensive des espaces créés. Un ’verger pastoral’ clos est par exemple créé. Les bénéfices sont multiples : Les moutons entretiennent cet espace, leurs excréments enrichissent le sol et favorisant la productivité des fruitiers.

Ce support pédagogique a été créé pour sensibiliser les promeneurs aux techniques d’aménagement de jardins économes en énergie, en ressources, et bénéfiques pour le sol et la faune locale :
 Plantations en racines nues d’espèces feuillues régionales,
 Paillage des plantations,
 Semis de trèfle dans l’espace central,
 Plantation d’un verger,

Le jardin de poche se déroule comme une promenade, de passerelle en passerelle, à travers une végétation désordonnée. En point d’appel, un miroir simule l’accès vers un espace plus vaste.

Circus est un jardin qui ondule entre les anses d’un chapiteau en fer forgé.
Les buttes de Dichondra dessinent les allées et confère au jardin douceur et fluidité.

Le jardin est une vague de briques déferlant vers la maison.
Le calpinage est soigneusement destructuré, les plantations la semaine prochaine.

A l’ombre des chênes verts, bercé par le murmure de la fontaine, ce jardin se déguste comme un grand cru...
La périphérie de la pelouse ouverte est plantée de généreux massifs, mêlant les vivaces et les graminées. Ces massifs contrastent avec les lisières sombres et mènent le regard vers le fond du jardin.

Ce jardin tout en longueur offre une déambulation sous les frondaisons des tilleuls et des bambous. La végétation est luxuriante, le calpinage irrégulier brouille les franges de l’allée et laisse l’hélixine coloniser les interstices...

Un jardin caché, un paradis dans le monde.

Réalisation de la terrasse dans le prolongement du couloir de nage. A l’automne, les plantations donneront au jardin l’exubérance d’une touche hispanique. Le mariage de bois différents structure le jardin, et encadre élégamment la pièce d’eau.

Le jardin moustique est désormais planté. Ses formes géométriques rappellent la modernité de la façade. Rendez-vous au printemps pour voir les massifs s’épaissir...

Vaste restauration d’un jardin planté dans les années 80.
Au centre du jardin, deux beaux oliviers sont au coeur du projet. Dominant la piscine, ils prêtent leur ombrage à une terrasse en bois.
Terrain de basket, terrain de pétanque et piscine : le jardin est un terrain de jeu !

Petit bijou de jardin citadin, à la palette ébouriffée, mêlant les graminées et les vivaces hautes. Le jardin destructuré fait écho aux lignes modernes que l’on retrouve à l’intérieur de la maison.

Nouvelle collaboration fructueuse Artisan du Paysage + SDL mettant à l’honneur un aménagement de lotissement... sans arrosage, of course !
Les jardins en terrasse exploitent la topographie naturelle des lieux. Les escaliers relient les garages aux maisons. Les talus nus sont couverts de bâches biodégradables. Au Nord, les futurs jardins sont recouverts d’une épaisse couche de paillage. Tout ceci dans l’attente des semis automnaux des gazons et des plantations hivernales, en racines nues. Avec BG Promotion, on respecte le rythme des saisons.

Un jardin d’ombre sèche à créer auprès du grand cèdre de ce parc, des tableaux de végétation vivace à composer, des perspectives à créer vers une noria, un parc à restructurer...

Ce que l’on cache, ce que l’on révèle, un équilibre subtil à trouver pour clarifier l’entrée de cette propriété familiale.

Le jardin a une base arborée importante. Transplantation, replantation et restructuration pour ce jardin seventies...

Ce petit jardin veut se cacher, car beaucoup de monde l’observe sans pudeur.
Ses franges sont donc persistantes et épaisses : Les lauriers amandes se mêlent aux magnolias pour masquer les vues.
Au centre, un grand érable entouré de fleurs vivaces. Couleurs chatoyantes à l’automne, terrasses à l’ombre en été, fruits rouges en lisière, circuit périphérique pour les enfants... Le jardin du bonheur, what else ?

Projet d’agrandissement du cimetière de l’abbaye, à la lisière des bois.
Un gigantesque châtaignier veille en majesté à l’entrée des lieux.

Le jardin mexicain est composé de massifs aux feuillages exotiques. Les floraisons sont discrètes et perdurent l’été durant. Les Choisya taquinent les Hesperaloe et les Butia.
Au fond du jardin, un potager ponctué de trois cyprès ferme le jardin.

Le chien andalou se prélasse prêt du couloir de nage. Végétation exotique et rustique, floraisons vives, fontaine et treille, jeux de poteries... recréent une atmosphère hispano-mauresque.

Le jardin Pastel est un concentré de Renaissance. Ifs fastigiés dorés (Taxus baccata ’aurea’) en fond, bandes de topiaires délimitant des bans de vivaces au feuillage exubérant, floraisons bleues. Pas d’arrosage, mais une épaisse litière organique, de compost et de copeaux de bois, sans compter sur de belles cuvettes d’arrosage pour les premières années...

Un sol inexistant, une végétation en lévitation pour un jardin lunaire ...

Le jardin se compose de différentes strates de végétation verticale. Les massifs de prêles font échos aux lignes de cactées et aux vivaces élancées. La clôture participe a ce ballet de lignes verticales.
L’ensemble de la composition est sobre et efficace.

Dernière semaine de chantier à Saint Marc : Plantations et semis automnaux terminent ce grand chantier !

Après les terrassements et les plantations de printemps, le chantier s’est poursuivi cet été par la réalisation des allées, du boulodrome et des restanques.
A l’automne, nous sèmerons les gazons et les zones de garrigues...

Le théâtre de verdure est un enchainement de petits espaces qui se découvrent au rythme de l’ascension du jardin. La terrasse principale, le kiosque et le potager, puis la piscine au point culminant, offrant une vue imprenable sur la ville...

Le jardin forestier est une perspective créée dans la forêt. Le jardin descend en pente douce jusqu’à la rivière en contrebas. Les lisières sont plantées d’arbustes et de graminées hautes, les prairies de vivaces et de bulbes.

Le jardin est fleuri depuis le printemps. Les thalictrums et les hydrangeas ont pris le relais des hostas et des heuchères. Les bambous se sont épaissis et isolent le jardin de la rue...

Tuteurage des grandes vivaces, Achillées, Filipendules et Eupatoires, réduction des sauges et des euphorbes, désherbage des massifs. Rythme de croisière pour le jardin qui entame là son second été.

Les digitales et les acanthes montent, les fougères se déploient, les akébias grimpent et le jardin gagne doucement en épaisseur...

Diachronie du jardin. Les pluies printanières sont les bienvenues !

Le jardin voit son premier printemps. Les pennisetum s’étalent généreusement, alors que les Molinies ont toujours du mal à croire à la mi ombre. Elles sont déplacées au soleil et remplacées par des véroniques d’ombre.
Les massifs prennent de l’épaisseur... Les premières fleurs sont de sortie : Tulbaghias, euphorbes, géraniums et thalictrum ont succédé aux pervenches et aux jacinthes des bois.

Le chantier touche à sa fin. La plantation de Dichondra repens dans l’espace ouvert limitera l’entretien, puisque cette vivace reste naturellement rase et dense.

Le chantier du jardin clairière a commencé sous la neige par le creusement des tranchées d’arrosage automatique des gazons.

Conception d’un jardin de ville, qui se déploie en une perspective jusqu’au banc bleu, cerclé d’une porte végétale.

Le jardin d’ardoises est terminé. La pelouse sera semé au printemps 2018.
Les massifs sont plantés d’arbustes régionaux, de vivaces et de bulbes printaniers.
Le paillis d’écorce de pins est acceptable sur ce terrain acide. Les bordures en ardoises structurent le jardin.

Associé à l’équipe MY Architectes, l’atelier Saut-de-loup se voit confier l’aménagement des abords d’un immeuble d’habitation et de commerces, au coeur de Saint-Orens.

Les vivaces de printemps ont cédé la place aux floraisons estivales. Bercé par la chute d’eau, le jardin est très agréable.
Les vivaces se développent, certaines nécessitent un tuteurage plus conséquent.

Projet d’aménagement autour des bassins qui dominent le Lot et le château. En proue de la perspective principale, cet espace est le plus important du domaine.

Première veille jardinière dans ce nouveau jardin. Les vivaces se sont développées et ont entamé leur ballet de floraisons. Les arbustes souffrent plus de la sécheresse.
Les ronds de gazon, arrosés copieusement, se sont parfaitement enracinés.
Les phytolaccas, vivaces invasives naturellement implantées dans le jardin, sont contenus en fond de massifs.

Le jardin secret est structuré par une allée courbe débouchant sur une petite esplanade élargie. Les cheminements sont pavés de granit. Les massifs allient les arbustes d’allure exotique aux vivaces aux feuillages généreux, faisant du jardin une petite jungle urbaine...

Le jardin est généreusement fleuri, les massifs de Calamagrostis montent de part et d’autre de la maison, et marquent d’avantage la perspective vers la montagne. Ces hautes graminées ménagent aussi un effet de surprise en dissimulant la terrasse depuis le parking d’entrée.

Le chantier touche à sa fin, les maçonneries sont terminées, les ronds ont été amendés de compost, les vivaces souffrent de la chaleur caniculaire ainsi que les arbustes que nous arrosons le matin et le soir. La couche de paillage maintient au sol un semblant de fraicheur.

Les espaces s’organisent autour d’une clairière. Espace clairement ouvert qui tranche radicalement avec le reste du jardin plus libre et densément planté.

Le jardin chameau entame sa seconde saison. Les vivaces ont pris de l’épaisseur, certaines, comme les Euphorbia amygdaloides ’robbiae’ s’étendent par drageonnage.
Les achillées couvre-sol, très épaisses autour de la piscine, ont plus de mal dans l’espace central. Le sol très limoneux a tendance à se compacter rapidement.

Paillage des massifs avec des plaquettes de peupliers. Une épaisseur de 15 cm est nécessaire pour que cette couverture soit réellement efficace dans la lutte contre les adventices, le maintien d’une humidité et d’une fraicheur favorables aux jeunes plantes. En parallèle, finition du bassin et des murets de la terrasse.
Aux beaux jours, le chantier progresse à grand pas.

Les vivaces et arbustes ont pris de l’épaisseur. De nouvelles plantations complètent la gamme principale (Fougères, pervenches helixine). Le jardin n’est pas encore à l’apogée de sa beauté, mais il s’en rapproche de mois en mois. L’été promet d’être radieux !

Le jardin solaire est un éclatement de fragments de massifs. Sans arrosage automatique, les plantes sont frugales.

Le jardin couleuvre est désormais planté, les pergolas réalisées, il ne manque plus que le paillage, et un grand travail de maçonneries pour en venir à bout...

Le jardin est structuré par un cheminement de barres d’ardoises qui relie le parvis de la maison à celui de la bibliothèque, puis à la terrasse de la piscine. Ce chemin fait office de bordure des massifs arbustifs et des mixed-borders.
Bien entendu, pas d’arrosage automatique pour ce jardin pyrénéen, et une palette végétale qui s’inspirera largement des peuplements naturels qui entourent la propriété.

La perspective sur la montagne se dessine, les massifs de graminées montent. Le jardin prend de l’épaisseur.

Le plan de plantation de la ’couleuvre’ : une base de graminées, un fond arbustif persistants et des vivaces qui donnent chair à l’ensemble....

L’Agence d’architecture SEQUENCES et l’atelier Saut-de-Loup, lauréats de la future école d’ingénieurs mécanique de Toulouse !

Les pins marqués ont été abattus, les massifs de chênes verts, signalés par de la rubalise ont été soigneusement épargnés. Ils forment la structure permanente du nouveau jardin.

Le jardin proche de la maison associe des massifs de vivaces très florifères (Tulbaghia violacea) à une végétation endémique (Coronilla glauca, cistus albidus, rosmarinus officinalis...)

Ce parc privé, en friche depuis quelques décennies, porté par la volonté d’un propriétaire dynamique et passionné, va retrouver une seconde jeunesse.
Associé à Hubert Puzenat, le troubadour des jardins, l’atelier Saut-de-loup travaille à cette renaissance...

Plan de plantation du futur jardin, les espèces choisies offrent un spectacle dès l’hiver avec la floraison des iris d’Alger et des kniphofias. Autour de la maison, les floraisons s’enchainent ainsi jusqu’au mois de juin. L’été, c’est au bord de la piscine, en contrebas, que l’on peut profiter du jardin de ce ses floraisons. En automne, les haies arbustives, composées d’érables, d’arbres à perruque et d’arbres de Judée, prennent des teintes chatoyantes.

Les plantes sélectionnées sont adaptées aux conditions de sécheresse estivale.

’La couleuvre’ se compose d’un enchainement de cercles, structurant l’espace, tout en préservant la souplesse des lignes directrices.
Un cheminement en brique serpente d’un cercle à l’autre et relie les différents lieux du jardin : Les pelouses de jeu, la fontaine de l’Ours cachée dans un massif, le mail de tilleul et le potager.
Les massifs sont savamment désordonnés, les plantes adaptées au sol frais, riche et caillouteux qui caractérise le fonds de vallée de l’Hers.

Un jardin de poche pour des citadins paresseux : Tontes peu fréquentes, arrosage rare, taille absente, voici le jardin du service minimum...

Face au restaurant fraichement réhabilité, une prairie de bulbes pousse aux pieds des cèdres majestueux. Un projet simple, proposant un jardin à la gestion extensive et amenant à chaque saison son lot de floraisons spectaculaires.

Marquage des pins à abattre dans le futur jardin.

En collaboration avec les artisans locaux, l’atelier Saut-de-Loup travaille à la réalisation du jardin ligne. Livraison prévue début février.

Première collaboration avec les agences Séquences et I am Architectes. Des espaces extérieurs structurés par des pontons, jouant avec la topographie et dominant la végétation.

Trois zones témoins ont été désignées dans le parc de Rochemontes pour être replantées. La zone ci-jointe est actuellement un roncier, ponctué de chênes moribonds. Les arbustes comme les sureaux ont beaucoup souffert de la sécheresse. La palette végétale proposée est forestière, mais les essences sont particulièrement résistantes à ces conditions estivales difficiles.

Un jardin symétrique, des massifs de buis limitant des parterres de vivaces sauvages, des topiaires et une fontaine confère à cette cour intérieure un air de Toscane !

Associé aux équipes MY Architectes et Eco2wattconseil, l’atelier Saut de loup propose un jardin puzzle, aux formes ondulantes et à la végétation herbacée.
L’entretien est simple, les massifs monospécifiques, ne nécessitent pas d’arrosage automatique. Une cabane en fer à souder est le lieu de convergence des enfants. Une passerelle sur laquelle monte du houblon, permet aux habitants d’accéder à un potager perché.

Le projet propose de structurer le jardin par une perspective embrassant une fontaine, des massifs de graminées et d’arbustes bas, la piscine et une cabane perchée en fond.

Après la construction du belvédère qui prolonge la maison, nouvelle phase de plantation dans le jardin des Pyrénées, et épandage d’une nouvelle couche de paillage en écorce de pins.

Les quatres "griffes" de logements forment comme des failles géologiques entre lesquelles une végétation luxuriante s’est développée. Jeux de feuillages démesurés, fond de vallon obscur...

Programme de 70 logements, intégrant un jardin en coeur d’îlot.
Les jeux d’enfants à la croisée des chemins sont des sculptures minérales, des paysages urbains dans lesquels les enfants peuvent jouer.
Végétation et revêtements du sol montent à l’assaut des murs et donnent l’impression d’une symbiose.

La plantation des jardins chameaux a commencé au domaine du Gamouna, à Bruguières. L’équipe de Saut-de-loup s’est échinée à défricher les parcelles. La couche de sabline (terre+sable) étalée en surface doit modifier la texture du sol, plutôt argileuse.
Les vivaces et arbustes plantés n’auront pas d’arrosage automatique.
Un paillage de gravier est prévu pour limiter la pousse des adventices.

Le jardin illusionniste est terminé. Il ne reste plus que le miroir en inox à fixer face au bassin inférieur. Les pergolas contre la façade du garage accueilleront différentes plantes grimpantes.

Sans arrosage, les lisières arbustives ont parfaitement tenu le choc de la sècheresse de septembre. L’étendue de trèfle blanc rampant a plus souffert du manque d’eau.

Les vivaces du jardin chameau arrivent à maturité. Les alternatives au gazon ont rapidement gagné le terrain qui leur est dédié grâce au travail minutieux de désherbage des propriétaires. Le jardin forestier résiste bien à son premier été.

L’allée principale serpente dans la garrigue sèche et les massifs de vivaces pour rejoindre l’espace piscine, sur la terrasse basse. Les pierriers sont conservés et enrichis de nouvelles plantations. A l’est, le potager offre une vue imprenable sur la Sainte Victoire.

Les bassins, chapeautées par des briques foraines sur champ,
La terrasse haute est surélevée pour être de plein pied avec le salon.

Le projet d’urbanisation concerne sur un terrain en partie boisée : Le diagnostic végétal indique des zones de clairières et des espaces plus denses, dans lesquels se mêlent ronciers, hallier de prunelliers, et colonie d’ailanthes.
Ce constat sert de base pour l’implantation des modules d’habitations.

Rejointoiement des couronnement de briques, enduit des murets.

Le jardin chameau se porte bien. Les propriétaires méritants ont passé beaucoup de temps à désherber les allées, en attendant que les alternatives ne recouvrent définitivement le sol. Celles-ci s’étendent progressivement et nécessitent pour le moment patience et travail minutieux. Les massifs prennent de l’épaisseur, et fleurissent joyeusement : Véroniques et sauges, nepeta et valériane sont à l’honneur...

Antoine Ginesty présentera, à l’occasion des rendez-vous aux jardins du mois de juin, deux réalisations récentes : Le jardin chameau et la clairière du Fillaul.
Deux projets à la même problématique : L’économie d’eau.

Réalisation des escaliers, habillage des bassins et des murets avec des briques sur champ. Bientôt, la pose des pavés....

Les travaux de maçonneries ont débuté. Les deux bassins en cascade sortent de terre. la semaine prochaine, les escaliers et les bordures en briques foraines seront posés. Chantier à suivre en image....

Les premiers jalons du plan de gestion sont posés :
Le relevé minutieux de la végétation en place indique les dynamiques végétales en action dans les différentes zones du parc.
Dans un second temps, la connaissance de ce "potentiel de transformation végétale" va orienter les futurs choix de gestion.

Le jardin chameau est en fleur, les alternatives au gazon prennent de l’épaisseur… Dans les sous-bois, acanthes et pervenches gagnent du terrain.
Préconisation : Ferramol dans les massif pour lutter biologiquement contre les limaces !

Le jardin se dessine parfois sur place, à force d’observation et d’imprégnation.
C’est le cas du belvédère, jardin né au fil des opportunités : Un énorme massif de palmiers poussait à l’ombre d’un magnifique magnolia, en hauteur.
Une vaste campagne de dessouchage, de défrichage, terrassement et replantation a permis de dégager un charmant belvédère, dominant la piscine et tout le jardin.

Le dossier technique du jardin illusionniste, à destination des entreprises de réalisation.

Deuxième campagne de plantation dans le jardin chameau : Vivaces tapissantes et arbustes lumineux composent le sous-bois.
La clôture de la piscine créé un fond de jardin, un décor attrayant.

Deuxième phase de chantier : Plantation des arbustes et arbres en racines nues et paillage des massifs.

Le projet a débuté par un relevé de la végétation du parc : Quelques espèces ornementales remarquables comme le Magnolia ou des cèdres bleus de l’Atlas, ou un séquoia,
Ce relevé a aussi été l’occasion d’affiner certaines pistes d’aménagement.

Deuxième semaine de chantier au pied des Pyrénées.
Au programme : Nouvelles plantations de vivaces, étalage d’une épaisse couche d’écorces de pins dans les massifs (La terre acide du site a dicté ce choix de paillage), réalisation d’une "clôture à mouton".
Du bel ouvrage !

Matthieu Gilardot, étudiant en BTS Aménagement Paysager à Albi a passé deux semaines entre les griffes des paysagistes de l’atelier :
Les chantiers de Luchon et du Fillaul n’ont pu entamer l’enthousiasme et la passion du stagiaire, de bonne augure pour l’avenir !

Cette terrasse domine les toits toulousains.
Elle a l’apparence d’une serre et devient une pièce de plein air.
Le système de voilage permet de s’isoler du voisinage et de créer en été une ombre rafraichissante.

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  Rubicub- Planche de présentation.

L’association "les amis du transformateur" organise un colloque sur la nature en ville.

Les architectes Hélène PAMIES LACUVE et Cathy SEGONZAT et l’atelier Saut-de-Loup sont candidats au concours de construction d’une maison de santé à Carbonne.

Le parc du château du Grand Jardin renferme depuis peu un TOPIARIUM ; une collection de 50 topiaires aux formes différentes. Cet ambitieux projet fut imaginé et aujourd’hui réalisé par Hubert Puzenat, spécialiste de l’Art topiaire en France.

Après une semaine de taille de formation d’ifs mastodontes, L’atelier Saut-de-loup est fier d’avoir participer à la naissance de cette oeuvre originale !

L’atelier Saut de Loup accueille depuis le mois de septembre un stagiaire, Fabien Berry.
Ingénieur aéronautique, Fabien est en pleine reconversion professionnelle et suit un BTS Aménagement paysager par correspondance à l’Ecole Supérieure d’Angers.
Il entre donc dans la grande famille des paysagistes, en attendant de futures collaborations ’in situ’.

Le festival Cinéfeuille honorait cette année le grand jardinier du Roi Louis XIV : André Lenôtre.

Le domaine de Bonrepos-Riquet, édifié au XVII^ème par le concepteur du canal du Midi, a été désigné par les organisateurs comme site remarquable du Grand siècle et témoin des activité de Riquet, dans l’élaboration de son projet d’échelle territoriale.